Saint-Affrique en hiver

J’ai vécu quelques mois à Saint-Affrique, à l’internat de l’école des techniques du spectacle et de l’animation The Village. Le site surplomb un peu la ville et offre une belle vue. Cependant, ce jour-là, le brouillard s’était levé. Au loin, l’église Notre-Dame.

La soirée Bock’son de Noël des Joulins : Big Ben & the Boogie Boys

Ce soir c’est la dernière soirée de l’année, et en guise de père Noël, c’est Big Ben & the Boogie Boys qui sont passés par la cheminée nous allumer un feu !

Comme pour les photos de la même soirée dans un autre billet, celles-ci sont des rescapées. En valait-elle la peine?

C’est un long chemin que l’apprentissage. En gardant une trace de vos premiers travaux, vous gardez une preuve de votre talent d’aujourd’hui.

à propos de l’audio : Il s’agit d’un enregistrement fait avec amour via un zoom H4 dans le public, encodé avec soin en MP3 de qualité, découpé et nommé. Enjoy =)

La soirée Bock’son de Noël des Joulins : The Psychologist & his Medicine Band

En 2009, je vivais ma première dramatique perte de disque dur : vol de mon pc portable en chambre étudiante commune. J’ai sauvé quelques petites photos d’un blog que je tenais à l’époque. Les autres sont une offrande pour les limbes.

Ce soir c’est la dernière soirée de l’année, et elle se passe aux Joulins ! Un bar proche de la fac de Tours qui accueillait une super programmation musicale. En guise de soirée de Noël, cette année, nous avons eu droit à une consultation du Psychologist & his Medicine Band (je ne me lasserai jamais d’écrire ce nom). C’était bruyant, festif, génial, et les curieux ou les courageux peuvent se faire une idée avec l’enregistrement audio.

à propos de l’audio : Il s’agit d’un enregistrement fait avec amour via un zoom H4 dans le public, encodé avec soin en MP3 de qualité, découpé et nommé. Enjoy =)

L’entrée de la grotte

En 1858 donc, dans le creux du rocher où l’on voit sa statue, une apparition d’une femme se manifesta  à Bernadette 18 fois, de février à juillet. Elle lui a demandé de faire venir du monde, de demander aux prêtres de faire bâtir une chapelle sur la grotte, de faire venir des processions, d’aller boire à la fontaine et de s’y laver. Elle lui a demandé de prier pour les pécheurs, de baiser la terre pour eux. Elle ne lui a « pas promis de la rendre heureuse dans ce monde, mais dans l’autre. » En mars, elle se présenta ainsi : « Je suis l’immaculée conception » dans un patois compréhensible par la fillette. Pour ne pas les oublier, elle répètera ces mots à voix haute en courant chez le curé.

Du beau monde croisé à Lourdes

Dans les jardins du sanctuaire, sur le chemin de la grotte, j’ai croisé la Vierge couronnée, la petite bergère sainte avec son troupeau, ainsi que St Martin de Tours, si loin de chez lui ! Nous étions au moins deux tourangeaux en pèlerinage, ce jour-là.

Le sanctuaire de Lourdes

A l’entrée du sanctuaire, juste après avoir traversé le pont, se trouve un Calvaire sculpté par la famille Hernot et achevé en 1901. Derrière lui se dessine l’entrée de la crypte et de la basilique dédiée à la Vierge. Sur sa coupole trône une croix et une couronne dorée.

Lourdes en son cœur économique

Le petit train de Lourdes passe le long des quais du Gave de Pau.

Le boulevard de la Grotte : suivez-le, et derrière les restaurants et les marchands de foi, vous y trouverez le saint des saints.

Le Gave sépare comme un cordon sanitaire les artères commerciales, à droite, du cœur religieux de la ville : la grotte et son sanctuaire.

En traversant le pont, j’ai laissé le brouhaha derrière moi, celui de la ville et des camelots. Pendant une minute,  je n’étais plus un parmi 40 000 pèlerins et visiteurs : j’étais le seul : le seul à traverser le Gave, le seul à marcher, et le seul à pouvoir entendre les bruits de mes pas. Une minute seulement, puis un autre brouhaha est monté, celui de la curiosité et de la ferveur, celui des basiliques et des fontaines à eau bénite.

Le chemin du Jubilé

En 2008, Lourdes célébrait le 150ème anniversaire des Apparitions. Un chemin à plusieurs étapes a été proposé aux pèlerins et touristes pour « entrer dans l’esprit du Jubilé ».

En s’éloignant du chemin, on trouve des murs et rambardes habillées pour les jours de grande foule.