Première vue en arrivant au centre-ville de Lourdes : l’Église Paroissiale Du Sacré-Cœur, construite sur le site où Bernadette Soubirous fut baptisée.

C’est durant cette escapade au sommet du pic du Jer que j’ai appréhendé, pour la première fois et à moitié par hasard la notion de profondeur de champ. Imitant l’œil humain, l’appareil reflex, par le jeu de ses lentilles, créé des champs de netteté sur l’image et détache le sujet du fond. N’est-ce pas une formidable technologie ?
Le funiculaire fut inauguré en 1900 par la Compagnie du Funiculaire du Pic du Jer, mais la ville de Lourdes en est aujourd’hui le propriétaire-exploitant. J’ai pris une photo, avant d’entrer dans la cabine, du début de la ligne.
Au sommet, un bar-restaurant et des cyclistes courageux.
Au sommet aussi, une superbe vue sur la ville mariale et ses alentours, dont le lac.
Au sud, vers Argelès-Gazost :
Vers l’est : Lézignan, Loucrup…
Sache, estimé lecteur, que dans ce blog photo, presque rien ne te sera épargné. Ni contre-jour ni mauvaise exposition ne sont de trop pour mesurer le chemin de l’apprentissage. Ainsi, mes débuts modestes dans la captation d’images nous font voyager devant l’entrée du funiculaire du pic du Jer, près de Lourdes. Le bâtiment charmant dessine ses contours sur les flancs du pic, alors que le soleil à la pointe nous éblouit. Plus tard, je mesurais l’utilité d’un pare-soleil accroché à l’objectif plutôt qu’à mon poignet, mais encore aujourd’hui il m’arrive de l’oublier.